• la maltraitance des animaux

    pourquoi maltraiter les chiens,meillieurs amis de l'homme,les chats ,qui nous aide à chasser les rongeurs,et on en vient au chevaux,on monte sur leur dos sans qu'ils ne disent rien,nous aident,nous soutiennent et nous ,pour les remercier on les mangent ! Je ne trouve sa pas normal ! voilà des histoires qui montrent ce qu'ils subissent malheureseument à cause des Hommes !!

    Je compte sur vous pour faire passer ce message en le mettant sur vos blog !

  •  

     

    Je m’appelle Valmy, ou plutôt, je m’appelais Valmy. J’étais assez heureux dans mon box,

    je travaillais, et on me nourissait. Mais un jour, j’ai commencé a me fatiguer: un cavalier m’a trop poussé, et l’obstacle m’a fait tomber. Je ne pouvais plus sauter. Pendant quelques temps, je n’ai plus rien fait, je restais au box et mes rations ont commencé a diminuer : j’étais affaibli, … puis un camion est arrivé. Quelqu’un est venu me chercher et m’a conduit devant. Ils l’ont ensuite ouvert pour que je puisse y monter. L’homme me tenais fermement. J’ai commencé à avancer puis j’ai vu d’autres chevaux, ils étaient trés énervés, peureux et bougeaient dans tout les sens. J’ai commencé a sentir l’odeur du sang alors je n’ai pas voulu monter. J’ai reculé mais l’homme tenait déja une chambriére à la main. Il l’a fait claquer et m’en donna un grand coup dans les flancs. Je me suis cabré mais d’autres humains sont arrivés. 15 mn plus tard j’était dans le camion. Mes flancs étaient brûlants de douleur. Le camion s’est mit en marche. Les chevaux qui étaient là avant moi étaient paniqués et moi je le devenais de plus en plus. Petit à petit, la soif m’envahissait et l’odeur du sang ne s’était toujours pas dissipée. Au bout de 10 heures de route nous sommes arrivés en un autre endroit: il faisait sombre et il y avait des dizaine d’autres camions dont 2 très grands, où des chevaux avaient été entassés. Des hommes sont venus et nous ont tirés hors du véhicule puis conduits vers un de ces énormes engins. Il y avait baucoup d’autres chevaux. Ils hénissaient de détresse, se cabraient. Des hommes les frappaient pour avancer. Aprés étre rentrés, le calvaire a vraiment commencé : Les chevaux et poneys étaient retenus par des cordes peu solides mais attachées et en un coup de frein une dizaine de chevaux tombèrent. Dans la panique, certains se sont cabrés en en écrasant d’autres. Moi j’étais par terre et je ne pouvais plus me relever, ma blessure me soudait au sol. Quelques minutes plus tard le camion s’arréta encore brusquement et la même histoire se répéta. Là, j’ai commencé à voir le sang, il coulait le long du camion. Un de mes congénères qui était tombé se releva brusquement et marcha sur un de mes postérieurs. J’était paralysé. De plus en plus de chevaux tombèrent et ne se relevèrent pas, puis mes yeux se fermèrent, j’avait trop soif. Nous avons roulé comme cela pendant près de 3 jours entiers. Arrivés devant un batiment le camion s’est arrêté. Je ne pouvais plus me lever, la douleur était trop grande. Les chevaux etait criblés de blessures. Certains, comme moi ne pouvaient plus marcher. Ils sont venus et nous tiraient. Nous avions beau lutter, ils était forts et nous trop fatigués. Des gens sont venus vers moi et ont essayés de me faire lever à coups de pied et de cravache . Mais je ne pouvais faires de gestes. Alors un autre et arrivé et ils m’ont tiré par les membres, je henissais de toutes mes forces mais elle m’abandonnaient, peu à peu. Plusieurs chevaux agonisaient, d’autres étaient deja morts. Puis on m’a trainé jusque dans une salle ou des hommes m’on assomé, j’ai senti une, puis deux, puis trois douleurs au niveau de l’encolure. Les hommes étaient en train de me saigner. Peu à peu, j’ai quitté la vie, où plutôt la vie m’a quitté. La douleur était trop forte, je voulais et devais en finir. Puis il m’ont trainé et m’ont attachés les membres postérieurs à des chaînes, me voilà maintenant la tête en bas. Dans un dernier espoir d’aide, j’ai henni. Puis, plus rien, le pic a traversé ma gorge.

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • J'était dans mon box, j'était heureux. Mais "ils"sont venus. Moi, innocent, j'ai passé la tête par la porte de mon box et j'ai poussé un joyeux henissement en voyant tant de monde venir me dire bonjour. Et là, je "les" ai vue. Derrière eux, j'ai vu des cavaliers du club pleurer. Puis j'ai entendu ces mots que je n'ai pas compris: "on ne peut pas avoir autant de chevaux, il faut bien se débarasser de ceux qui ne nous sont pas indispensable. Or, Ange n'a pas eu de très bon resultas aux derniers concours." Ange, c'est moi. C'était moi. "Ils" m'ont emmené dans un van que je ne connaissais pas. Dedans, il y avait aussi Canelle, un ponette qui s'était blessé à la jambe la semaine dernière. On a fait un voyage assez long puis "ils" nous ont fait descendre dans une coure. Ca sentait bizard. Le sang, la mort, le crottin... Puis "ils" nous ont fait monter dans un gros camion oú il y avait déjà un dizaine de chevaux qui ont hennient en nous voyant. Mais ce n'était pas un henissement que je conaissait. C'etait un henissement de peur, de douleur, de détresse. Et là, j'ai commencé à ressentir la Peur. La vraie Peur. Je ne l'avait connue jusqu' ici. Cette Peur que l'on ressent quant on ignore quelque chose de capital. Dans la camion, l'odeur s'est amplifié. C'était à la limite du suportable. Puis le camion a démaré brutalement. On a roulé longtemps. J'avais faim, j'avais soif. En voyage, j'ai fait connaissance du cheval qui était à coté de moi. C'était Indy, un hongre. Il avait une blessure qui s'infectait peu à peu à la jambe. Puis "ils" ont fait monter d'autre chevaux. Pour qu'on se pousse, ils nous ont fouété. Et là, Indy a trébuché. Il est tombé. Et un cheval lui a marché sur la jambe. Il ne pouvait plus se relever. Aprés quelques heures de souffrances horribles, il s'est eteint. Puis son corps a commencé à sentir. C'était horrible. Peu a peu, d'autres chevaux se sont éteints. De soif, de faim, de blessures, de desespoir. Enfin, le camion s'est arété. "Ils" ont ouvert la porte. La lumière m'a aveuglée. Les autres chevaux voulaient sortir. Ils m'ont poussé. Je me suis tordu la jambe. J'ai eu mal. Mais j'était obligé d'avancer. Dans d'interminables couloir hanté par le sang, la peur, la Mort. J'ai entendu un cheval henir, j'ai reconnu Canelle. Ma petite Canelle si courageuse. Puis on est arrivé dans un grande salle avec un planché en fer. Puis, "ils" ont fermé la porte et nous on laissé là. Pas à boire, pas à manger. Un à un, beaucoup de chevaux sont morts. Ma Canelle aussi. Puis, un jour, "ils" sont venue me chercher. J'ai eu à boire. C'était bon. C'était la dernière chose que j'aurais eu de bon de ma vie. Ensuite, je suis entré dans un salle oú l'odeur, l'ambiance, m'a fait paniquer. Je me suis cabré, je me suis pris un coup de gourdin dans les jambes. Puis, "il" est entré. J'ai senti quelque chose entrer dans ma gorge. J'ai eu mal. Je me suis senti faible. Je me suis couché. Ou plutôt, je suis tombé. Et j'ai su. J'ai eu mal au coeur. J'ai fermé les yeux. Noir. . . . . .

     

    Ange est morte,a cause de cette hippophagie a la noix !!

    il meurent dans d'atroces souffrances sans rien comprendre ce qui leur arrivent et  ils méritent mieu que sa !

    Partager via Gmail Yahoo!

    3 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique